Tout comme pour le Toxic Mag précédent, le contenu de cette rubrique
provient de différents sites sur Internet. Si vous en voulez encore
plus, allez donc sur un moteur de recherche, vous trouverez certainement
votre bonheur.
Et l'on commence avec une petite histoire pour les nombreux informaticiens qui nous lisent :
L'AMOUR INFORMATIQUE ou PetiteAmie version 1.0
L'année dernière un de mes amis a fait la mise à jour de PetiteAmie 3.1 pour
passer à PetiteAmiePlus 1.0 (vendue sous l'appellation Fiancée 1.0). Récemment,
il a fait une nouvelle mise à jour pour passer à Femme 1.0 qui lui a bouffé
toute sa mémoire. Non seulement ça lui a pris tout son espace, mais il a aussi
constaté qu'il fallait charger Femme 1.0 avant de faire quoi que ce soit. Bien
qu'il ne lui ait rien demandé à ce sujet, Femme 1.0 lui a été livrée avec des
compléments tels que BelleMère et BeauFrère.
Pour ce qui est de la future version de PetiteAmie 4.0, j'aimerais
que soient ajoutées les fonctions suivantes :
- Un bouton "oublie-moi".
- Un bouton pour minimiser l'application.
- La possibilité de fermer vraiment l'application.
- Une vraie procédure intégrée de désinstallation de manière à ce que l'on
puisse, si l'on en a envie, s'en débarrasser sans pour autant perdre son cache,
le contenu du tampon et les registres.
J'ai essayé de faire fonctionner une version 2.0 de PetiteAmie alors que
PetiteAmie 1.0 était encore installée : dans la mesure où les deux applications
utilisent le même périphérique d'entrée-sortie, elles sont entrées en conflit.
J'ai donc voulu désinstaller l'application PetiteAmie 1.0 mais elle n'a pas de
programme de désinstallation automatique. J'ai essayé de la désinstaller à la
main, mais elle avait mis ses fichiers partout chez moi, jusque dans mon
répertoire système.
Un autre truc qui déconne avec toutes les versions de PetiteAmie que j'ai
utilisées, c'est qu'elles sont complètement orientées objet et que le seul
matériel qu'elles supportent ne peut être connecté qu'avec des câbles en or.
*** Attention : Bug ***
Femme 1.0 a un bogue qui n'est pas décrit dans la documentation. Si vous essayez
d'installer Maîtresse 1.1 sans avoir désinstallé Femme 1.0, alors cette
application va supprimer vos fichiers MS-Money en se désinstallant elle-même
automatiquement. A ce moment-là, Maîtresse 1.1 va refuser de s'installer sous
prétexte d'insuffisance de ressource système.
SPECIAL SPORT
Ça se passe il y a 2 ans, le PSG vient de se prendre une taule par
les Nantais, alors Fernandez va voir son collègue Jean Claude
Suaudeau, entraîneur du FC Nantes. Il lui dit :
- Je comprends pas, notre budget est 5 fois plus gros que le votre, on a les
meilleurs joueurs, et on se prends une raclée à chaque fois, c'est quoi ton
secret ?
- Ecoute Louis, lui répond Jean-Claude, il ne suffit pas d'avoir les meilleurs
joueurs, il faut aussi qu'ils soient intelligents. Tiens, regarde ! Il appelle
Nicolas Ouedec.
- Mon petit Nicolas, lui dit Jean Claude, j'ai une énigme pour toi.
- Vas-y, lui réponds Ouedec.
- C'est le fils de ton père, mais c'est pas ton frère, qui est-ce?
- Bah c'est moi, lui réponds Nicolas.
- C'est bien, retourne t'entraîner.
Il s'adresse a Louis et lui dit :
- Tu vois, ils sont intelligents mes petits gars.
- Ah ouais, vachement ! répond Fernandez d'un air surpris. Et notre amis Louis
s'en retourne a Paris, avec l'idée de tester l'intelligence de ses joueurs. Il
va voir Vincent Guerrin et lui pose l'énigme :
- C'est le fils de ton père, mais c'est pas ton frère, qui est-ce?
- Euh ... je sais pas moi ... euh ... Oh et puis merde !!! je suis pas payé pour
répondre a des énigmes débiles. Y'en a marre de ces conneries !
Guerrin retourne alors sur le terrain s'entraîner, mais la question lui trotte
dans la tête un bon bout de temps. il va voir Bernard Lama pour essayer de
connaître la réponse.
- Heu, Bernard, j'ai une question pour toi qui est pas trop con... C'est le fils
de ton père, mais c'est pas ton frère, qui est-ce ?
- Bah c'est moi, lui répond Bernard.
- Ah ouais... ok !
Et Vincent retourne voir Fernandez, bien content d'avoir trouvé la réponse à
cette foutue énigme. Il lui dit :
- Louis, j'ai trouvé la réponse à ton énigme.
- Ah bon, lui dit Louis.
- Ouais, c'est le fils de mon père mais c'est pas mon frère, c'est Bernard Lama !
- Mais non ducon, c'est Nicolas Ouedec !
- Quelle est la différence entre une prostituée et le PSG ?
- La prostituée arrive au moins à faire quatres passes d'affilée.
- Pourquoi le PSG n'en met-il plus une dedans ?
- Parce que les buts à l'extérieur comptent double.
- la difference entre le PSG et un taxi ?
- Le taxi ne peut pas en prendre plus de quatre.
- Pourquoi les fans du PSG ont-ils les mains toutes lisses ?
- Parce que ça fait trois mois qu'ils se les frottent en disant "le prochain match, on le gagne !"
SPECIAL MEDECINE
Une femme vient d'accoucher. Elle attend le médecin. Celui-ci arrive avec le
bébé. La jeune mère, impatiente de le voir, pleure de bonheur. Mais alors que le
médecin s'approche de la mère avec le bébé dans les bras, il le jette au sol,
lui saute dessus, le ramasse, le lance contre le mur, l'utilise comme ballon de
foot, et finalement le jette par la fenêtre. La jeune mère hurle : "Mon bébé...
mon bébé... salaud... vous n'êtes qu'un salaud !". Le médecin lui répond
"Poisson d'avril, il était déjà mort".
Un mec se rend chez son toubib, complètement dégommé. Le docteur lui file des
suppositoires et lui demande de revenir dans une semaine pour vérifier l'état de
santé. Une semaine après donc, le gars revient dans un état encore pire
qu'avant. Le docteur :
- Ma parole, je vous ai bien donne des suppositoires, non ?
- Bien sûr, Docteur.
- Et alors ! Vous les avez mangés ou quoi ?
- Ben évidemment, au prix où je les ai payés, vous croyez que j'allais me les mettre dans le cul ?
Une paysanne se rend chez son médecin.
Le médecin :
- Bonjour mon amie ! Qu'est-ce qui ne va pas ?
- Ben c'est mon mari, y'a qu'il s'prend pour une chèvre a chaque fois que je me déshabille !
- Ah oui ? Curieux... Voulez-vous bien vous déshabiller, s.v.p.?
(Elle se déshabille)
Et le médecin :
- Beeeeeeeeeeeeeeh !
Une femme affolée :
- Docteur docteur ! C'est pas chez vous que j'ai oublié ma petite culotte ?
- Non madame , désolé.
- Ah, ben alors ça doit être chez le dentiste !
Un chef de clinique emmène ses étudiants en médecine à la morgue et leur dit,
devant un cadavre:
- Pour être docteur, il faut avoir deux qualités. La première, ne jamais être
dégoûté. Alors vous allez tous faire ce que je vais faire devant vous.
Il s'approche du mort, lui fait un doigté rectal et suce son doigt. Les internes
ne sont pas très chaud, mais bon, quand il faut y aller, il faut y aller. Une
fois que tous s'y sont bien collés, le chef de clinique poursuit :
- La seconde qualité, c'est l'observation. Aussi, j'ai mis mon majeur dans
l'anus du cadavre et j'ai sucé mon index...
Madame vient d'accoucher. Monsieur se précipite, mais le médecin l'arrête :
- Ecoutez, il y a un petit problème...
- Ah ? (monsieur blanchit)
- Voilà (le toubib est gêné)... Votre enfant n'a pas de jambes...
(silence)
- Bon, dit Monsieur, ça ne fait rien, je l'aimerai quand même.
- C'est que... ce n'est pas tout...
- Quoi ?
- Ben... il n'a pas de bras non plus...
(silence plus long)
- Bon, ça ne fait rien, je l'aimerai quand même.
- Autant tout vous dire tout de suite... Il n'a ni torse ni abdomen...
- Gloup ! (très long silence) Mon enfant n'est donc qu'une tête ?
- Eh bien... même pas... c'est une oreille... La voici !
Le docteur montre l'oreille emmitouflée a Monsieur. Monsieur pleure, berce
l'oreille et lui chuchote entre deux sanglots :
- Ce n'est rien, mon enfant, nous serons heureux, tu verras...
- Parlez plus fort, dit le docteur, il est sourd...
C'est un monsieur qui appelle le docteur :
- Allô, docteur, ma femme nettoyait le sol du salon en tenue légère, elle a
glissé et fait le grand écart, maintenant, euh... elle est collée, comment
dire... ça fait ventouse !
- ... ?
Le docteur ne sait pas quoi faire et la situation n'évolue pas. Désespéré, le
monsieur appelle le carreleur. Celui-ci vient constater en urgence, se gratte la
tête longuement et propose :
- Je ne vois qu'une solution : je vais découper un mètre du sol en marbre tout
autour de votre femme, comme ca nous pourrons soulever le tout ; on fera ensuite
un petit trou par dessous avec une perceuse, l'air va rentrer et votre femme
sera libérée...
Le mari rétorque :
- Ah mais oui, mais dites-donc, c'est que le marbre ca vaut 3500 F du mètre
carré, vous en avez de bonnes ! Moi je suis pas d'accord, trouvez quelque chose
de moins cher !
Le carreleur réfléchit, réfléchit, et puis il se dirige vers la dame (toujours
collée) et commence a lui caresser la poitrine sous l'air surpris du mari. Il se
penche ensuite et lui introduit un doigt dans l'anus !
Le mari :
- Ah ! Mais dîtes, là, qu'est ce que c'est que ces saloperies ? Qu'est ce que
vous faîtes à ma femme ?
- Ben, je la fais mouiller, comme ça on pourra la faire glisser jusqu'à la
cuisine, vous avez du carrelage bon marché, là-bas...
Un homme consulte un chirurgien parce qu'il aimerait avoir un pénis plus grand.
Le chirurgien lui explique que c'est possible, mais que ça implique de greffer
un bout de trompe d'éléphanteau sur le pénis humain. Le gars s'en fout. Ce qui
l'intéresse, c'est d'avoir la bite monstrueuse, à la Siffredi. Du coup,
l'opération a lieu. Quelques semaines plus tard, le gars sort de la clinique et
invite sa petite amie au restaurant. Après l'apéritif, le nouveau pénis de notre
héros "s'évade" de son pantalon, s'élève au dessus de la table, attrape un bout
de pain, et très vite disparaît sous la table. La fille qui a vu la scène n'en
revient pas. Elle s'exclame : "Qu'est-ce que c'était que ça?". Et le gars fait
l'innocent et dit qu'il n'a rien vu. Mais tout à coup, le pénis refait surface,
reprend un autre bout de pain et disparaît tout aussi vite que la première fois.
La femme se tait quelques secondes puis dit : "Je n'arrive pas à croire que j'ai
vu ce que j'ai vu... tu pourrais refaire ça ?". Le gars sourit d'un air gêné et
lui répond : "Chérie, j'aimerais bien, mais tu vois, je crois bien que je ne
supporterai plus de prendre un autre morceau de pain dans le cul !".
Le ministre de la sante visite une clinique ultra-moderne. En entrant dans une
chambre, il voit une infirmière qui branle un patient :
- Mais que faîtes-vous ?
L'infirmière :
- Il a un problème hormonal. Il faut le masturber tous les jours sinon ses
testicules gonflent et risquent d'éclater.
Le ministre continue son tour. Puis il se rend dans l'autre aile et trouve la
même infirmière en train de sucer un patient.
- C'est plus grave pour lui ?
L'infirmière :
- Non, c'est pareil que l'autre ; mais lui a une mutuelle.
C'est un homme qui entre dans une pharmacie et demande a la caissière où sont
situés les tampax. La caissière indique au fond a droite. Quelques minutes plus
tard notre même homme se présente à la caissière avec un paquet de ouate à
démaquiller. La caissière lui dit : "Monsieur, je crois que vous n'avez pas le
bon produit !". L'homme de répondre : "La dernière fois que j'ai envoyé ma femme
me chercher des cigarettes, elle est revenue avec du papier et du tabac. Eh bien
cette fois, c'est à son tour de se les rouler elle-même."
C'est un séminaire médical. Au cours d'un des nombreux banquets prévus, un
médecin homme repère un médecin femme. Ils font connaissance, et elle accepte un
rendez-vous pour un diner au restaurant en tête à tête. Au restaurant, avant de
s'assoir à la table, elle s'excuse pour aller se laver les mains aux toilettes.
Après le diner, elle s'excuse à nouveau pour aller se laver les mains. La soirée
se poursuit dans un bar branché de la ville, puis le médecin homme convainc la
médecin femme de le suivre dans sa chambre d'hôtel. Avant de se laisser aller à
leurs pulsions sexuelles, la femme s'excuse pour aller se laver les mains une
fois encore... et puis ils y vont ! Quand ils ont terminé, la femme se lève en
disant qu'elle va se laver les mains. Lorsqu'elle
revient, le médecin homme lui dit :
- Je parie que tu es chirurgienne !
La femme lui confirme qu'il a raison et lui demande comment il sait ça. Alors le
gars répond :
- Facile, tu es toujours en train de te laver les mains.
Alors la femme dit :
- Et bien moi, je parie que tu es anesthésiste !
Le gars répond :
- C'est vrai ! Comment tu as deviné ?
Elle :
- Parce que je n'ai rien senti.
C'est une femme qui a un vagin très large. Elle va chez un gynécologue. Alors
qu'il commence a l'ausculter, il s'exclame :
- Quel vagin ! quel vagin ! quel vagin !
Alors la femme, un peu énervée :
- Oui, je sais qu'il est grand, c'est pas la peine de le dire trois fois !
- C'est pas moi, c'est l'écho ! l'écho ! l'écho !
- Qu'est ce que les médecins font le jour ?
- Ils amputent des jambes.
- Et la nuit?
- Ils enjambent des putes.
SPECIAL STARS
Deux gars, dans une prison du Texas sont condamnés à morts. Ils vont passer à la
chaise électrique le même jour. On les conduit dans la chambre d'exécution. Le
prêtre leur donne les derniers sacrements, puis le directeur de la prison fait
un dernier discours. Enfin le curé invite tout le monde à prier une dernière
fois. Le directeur se tourne ensuite vers le premier qui sera exécuté et lui
demande :
- Quelle est votre dernière volonté?
Le gars répond :
- J'aime la musique... Vous pourriez passer Céline Dion à la sono pour que je
l'entende une dernière fois ?
Le directeur :
- Certainement, on peut faire ça pour vous.
Il se tourne alors vers le deuxième condamné :
- Et vous, quelle est votre dernière volonté ?
Le gars :
- S'il vous plaît, tuez-moi en premier !
Depuis que Bill gates est venu en Belgique, il a decidé de rebaptiser son
encyclopedie : ENTARTA.
- Quelle est la différence entre Linda de Suza et une otarie ?
- Il y en a une qui a des moustaches et la peau huileuse, et l'autre.... c'est l'otarie.
- Savez-vous ce que veut dire 2be3 en français ?
- 2 neurones pour trois !
- Mais à quoi donc ressemblerait Lolo Ferrari en train de faire le poirier ?
- A la bite de King Kong !
- Qu'est-ce qu'un 2be3 sur un vélo ?
- Une troisième pédale.
- Pourquoi les Spice Girls ont elles plus de pillules que d'aspirine dans leur sac ?
- Parce qu'elles se servent beaucoup plus de leur cul que de leur tête.
Pour certains, cette série va paraître de mauvais goût, mais peut-on rire de
tout ? En tous cas, voici l'intégrale sur Lady Di en 16 blagues.
TECHNOCRATIE, CONSULTING, ADMINISTRATION, CHEFS : MEME COMBAT
UNE FABLE FRANCO-JAPONAISE
Une petite fable pour laquelle toute ressemblance avec des personnes ou des
sociétés ne serait que fortuite.
Une firme japonaise et une société française décident de faire une course d'aviron. Les deux équipes s'entraînent dur. Les Japonais gagnent avec plus d'un kilomètre d'avance et les Français sont très affectés. Leur management se réunit pour chercher la cause de l'échec. Une équipe d'audit constituée de seniors managers est désignée. Après enquête, ils concluent que l'équipe japonaise est constituée de huit rameurs pour un barreur, alors que l'équipe française a huit barreurs pour un rameur. A la lecture de l'audit, le management décide de louer les services de consultants. Après avoir reçu d'énormes honoraires, ils rendent leur avis : l'équipe française doit avoir plus de rameurs et moins de barreurs. La structure de l'équipe française est donc réorganisée. Mais comme personne ne veut devenir rameur, il est décide de créer trois postes de barreurs managers superviseurs, trois de barreurs managers superviseurs adjoints et un de barreur assistant manager. Les Français mettent aussi en oeuvre un système de stimulation pour encourager le seul rameur de l'équipe à travailler plus. Baptise "la qualité et le zéro défaut", il repose sur des réunions, des dîners et une prime sur objectif pour le rameur. Une nouvelle course a lieu et, cette fois, les Japonais gagnent avec 2 kilomètres d'avance. Humiliée, la direction française licencie le rameur, stoppe la mise en chantier d'un nouvel aviron, vend le bateau et annule tout investissement. Puis elle récompense les barreurs managers de leurs efforts en leur donnant le prix de la Performance. Enfin elle distribue l'argent économisé par ces mesures de restriction à tous les directeurs seniors.
Toute ressemblance... etc.
REGLES DE BASE DU CHEF
Règle 1 :
Le chef a toujours raison.
Règle 2 : Dans le cas fort improbable où un subordonné aurait raison, l'idée du
subordonné devient automatiquement l'idée du chef.
Règle 3 :
Le chef ne dort pas au travail. Il médite.
Règle 4 :
Le chef n'est jamais en retard. Il est retardé.
Règle 5 : Le chef ne quitte jamais son travail avant l'heure. On a besoin de lui
ailleurs.
Règle 6 : Le chef ne lit jamais son journal au travail. Il s'informe sur
l'actualité économique.
Règle 7 : Le chef ne prend jamais de liberté avec sa secrétaire. Il fait son
éducation.
Règle 8 :
Le chef est toujours le chef. Même en slip de bain.
Règle 9 : Quiconque entre dans le bureau du chef avec ses propres opinions doit
en ressortir avec celles du chef.
Règle 10 :
Si vous avez un doute, conformez-vous à la règle numéro 1.
CONSEILS AUX JEUNES CADRES (PLEINS D'AVENIR...)
1. AYEZ TOUJOURS L'AIR ABSORBÉ ET LÉGÉREMENT SOUCIEUX :
Seuls les imbéciles, les subalternes et les Américains ont l'air détendu
pendant les heures de travail.
2. AYEZ TOUJOURS L'AIR PRESSÉ :
Courez dans les couloirs, même si vous allez vous promener. Vous serez classé
parmi les gens "dynamiques", ce qui constitue un label des plus estimés.
Réapprenez au plus vite tout ce que votre mère vous a défendu pendant votre
enfance : claquez les portes, raccrochez violemment le téléphone, jurez le
plus possible quand il est nécessaire de paraître en colère.
3. AYEZ TOUJOURS L'AIR SÉRIEUX :
Ne vous déplacez jamais sans un porte-documents bien rempli, c'est essentiel.
Au besoin, bourrez-le avec de vieux journaux. A noter l'aspect "performant"
de l'attaché-case. A propos de journaux, pour le standing, Le Monde est
recommandé, l'ennui est que vous serez obligé de le parcourir afin de pouvoir
dire: "j'ai lu Le Monde". Rien ne vous empêche de dévorer France Soir ou
L'Équipe, pourvu que ce soit à huis clos et sans témoin.
4. IL EST BIEN VU À VOTRE AGE D'AVOIR DES IDÉES ORIGINALES :
Ayez-en quelques-unes. Mais attention, que ce soit bien les mêmes idées que
celles de vos supérieurs. Sans quoi vous passeriez pour un dangereux
idéaliste.
5. TRAVAILLER C'EST BIEN, LE FAIRE SAVOIR C'EST MIEUX :
La mode étant aux rapports concis, présentés de façon claire, vous devez
rédiger les vôtres en style télégraphique. Affirmez péremptoirement ce qui
vous passera par la tête et vous aurez l'esprit de synthèse. Si vous rédigez
une étude sérieuse et approfondie, vous auriez seulement l'esprit d'analyse
et, sachez-le, ca fait rétrograde.
6. NE QUITTEZ JAMAIS LE BUREAU À L'HEURE DE LA SORTIE :
Vous devez partir au moins une demie-heure après et faîtes en sorte que votre
départ coïncide avec celui du patron, sinon a quoi cela servirait-il ?
7. NE VOUS ETONNEZ JAMAIS DE RIEN :
D'abord parce que, quoi que l'on vous annonce, vous le savez déjà ; y compris
et surtout ce que vous ne deviez pas savoir... et que vous avez appris par
cette méthode.
8. IL EST UTILE DE :
Jeter au hasard des discussions : "cette nuit j'ai pensé à la standardisation
des bons de commandes...". Naturellement c'est faux, mais qui peut le
vérifier...
9. ORGANISEZ BEAUCOUP DE RÉUNIONS :
On n'y fait généralement pas grand-chose mais cela permet d'être assis un
moment et c'est d'un excellent effet psychologique.
10. ÉMAILLEZ VOTRE CONVERSATION DE LOCUTIONS TECHNIQUES :
américaines quelles qu'elles soient, même si elles n'ont aucun rapport avec
le sujet, l'important est que personne ne comprenne. Les termes abstraits
forcent le respect.
11. LORSQUE VOUS PRENEZ DES CONGÉS :
Dîtes bien que c'est pour votre santé, ça fait sérieux. Il faut éviter de
donner à penser que vous préférez le ski, la plongée sous-marine ou plus
simplement la chaise longue au travail.
12. ET SI AU BOUT D'UN CERTAIN TEMPS cette politique ne vous a pas fait progresser, c'est que vous avez affaire à des patrons intelligents. Alors changez d'entreprise... et recommencez.
POLITIQUE D'UTILISATION DES TOILETTES
A compter du premier mai 1997, une politique d'utilisation des toilettes
entrera en application et ce, afin d'avoir une méthode plus consistante de
calculer le temps d'utilisation des salles de toilettes de chacun de nos
employés, pour que tout le monde ait un traitement égal.
Avec l'entrée en vigueur de cette politique, un quota de déplacements aux toilettes sera établi pour chaque employé. Le premier jour de chaque mois, un crédit de vingt déplacements sera alloué à chacun des employés. Ces crédits sont cumulatifs.
D'ici deux semaines, chaque porte de toilette sera équipée d'un système d'identification personnalisé ; la voix de chacun sera donc enregistrée et servira de reconnaissance à notre système informatisé.
Avant la fin de septembre 1997, chaque employé devra donc faire parvenir à son chef de section, deux enregistrements de sa voix : un normal, et un à l'effort.
Si votre crédit de déplacements aux toilettes tombe à zéro, la porte des toilettes demeurera verrouillée pour vous et ce, jusqu'au premier jour du mois suivant. En plus, chaque toilette sera équipée d'un distributeur de papier rétractable. Si vous occupez la toilette plus de trois minutes, une alarme sonnera. Vingt secondes après la sonnerie, le papier hygiénique rentrera dans le mur, la chasse d'eau sera activée automatiquement et la porte s'ouvrira. Si vous continuez quand même à occuper les toilettes, une photo sera prise automatiquement. La photo sera affichée à l'entrée des bureaux. Chaque employé dont la photo sera affichée trois fois sera immédiatement congédié.
Si vous avez des questions au sujet de cette politique, consultez votre supérieur immédiat.
SPECIAL BLAGUES DE TOTO
La maîtresse demande a Toto, lors d'une leçon sur les rimes, de donner un exemple. Toto dit alors :
- Dimanche, je suis aller à la chasse aux grenouilles, et dans le ruisseau, j'avais de l'eau jusqu'aux genoux.
- Mais Toto ca ne rime pas du tout !
- C'est pas ma faute, y'avait pas assez d'eau !
Toto revient de l'école avec son bulletin. Des zéros partout.
- Quelle excuse vas-tu encore me donner ? soupire sa mère.
- Eh bien j'hésite entre l'hérédité et l'environnement familial.
La maîtresse demande de raconter une histoire pour illustrer une maxime de son
choix. Toto commence a narrer sa comptine :
- L'autre jour, je me promenais et soudain, que vis-je ? Une merde sur le
trottoir. Sa consistance et sa couleur m'incitèrent à dire: "tiens, ca c'est le
caca de mon ami Gustave". Puis, un peu plus loin, ne voila-t-il pas que je
faillis marcher sur un étron de belle taille, tout chaud et encore fumant ! Ouh
là là, c'est c'est sûrement une merde directement produite par mon pote gaston,
pensais-je, en mon for intérieur...
- Mais enfin, Toto, tu racontes n'importe quoi, interrompt brutalement la
maîtresse au beau milieu de l'histoire. Tes racontars scatologiques n'ont rien a
voir avec une maxime....
- Mais si , Madame, j'ai voulu illustrer la pensée suivante : "On reconnaît ses
amis dans le besoin".
Toto écrit au petit Jésus :
"Cher Petit Jésus,
C'est bientôt Noël, et j'aimerais bien recevoir un train électrique. Si tu m'en
envoies un, je te promets d'être sage pendant UN MOIS.
Merci.
Toto"
Il contemple son oeuvre et se dit qu'un mois c'est un peu long. Il se ravise,
prend une nouvelle feuille et écrit :
"Cher Petit Jésus,
C'est bientôt Noël, et j'aimerais bien recevoir un train électrique. Si tu m'en
envoies un, je te promets d'être sage pendant UNE SEMAINE.
Merci.
Toto"
Après lecture de cette nouvelle missive, il se rend compte qu'une semaine ça fait quand même sept longs jours et décide de raccourcir encore le délai :
"Cher Petit Jésus,
C'est bientôt Noël, et j'aimerais bien recevoir un train électrique. Si tu m'en
envoies un, je te promets d'être sage pendant UN JOUR.
Merci.
Toto"
Alors qu'il est ne train de se demander comment il va faire pour tenir sa promesse, une idée de génie lui vient. Il court au salon, va vers la télévision sur laquelle trône une statue de la Vierge Marie (dans une boule, avec "Lourdes" écrit dessus, la neige quand on la retourne et tout et tout). Il prend la statuette, l'amène dans sa chambre, la planque sous son matelas et recommence a écrire :
"Cher Petit Jésus,
Si tu veux revoir ta maman..."
C'est le père qui se promène avec Toto :
- Papa, papa, c'est quoi, ça ?
- Ça, c'est une mercerie.
- Et qu'est-ce qu'on y fait ?
- On y vent des boutons, du tissus,...
- Et ça, qu'est-ce que c'est ?
- Ça, c'est une boucherie.
- Et qu'est-ce qu'on y fait ?
- On vend de la viande.
- Et ça qu'est-ce que c'est ? (il montre un bordel)
- Je te le dirai quand tu sera plus grand !
Alors, intrigué, il va casser sa tirelire et se pointe au bordel et sonne. La
maquerelle lui ouvre et le fait vite entrer pour ne pas qu'on le voie devant
cette porte. Elle appelle une de ses filles et lui dis de lui préparer des
tartines. Le père rentre à ce moment-là du travail et s'étonne de ne pas voir
Toto à la maison. Il repense à la dernière question de son fils. Il décide
d'aller voir. Quand il arrive devant le bordel, il voit Toto qui ressort avec un
sourire jusqu'au oreilles.
Le père :
- Tu n'as pas honte, espèce de morveux. Qu'est-ce que t'as fais là-dedans ?
- Toto : je m'en suis tapée 5, la 6ème je pouvais plus, je l'ai léchée.
"- Pourquoi notre planète n'est-elle pas complètement ronde mais un peu aplatie
sur les pôles ?" demande la maîtresse à la classe en montrant le globe
terrestre.
"- C'est pas moi madame, je le jure ! C'était déjà comme ça l'an passé !" répond
Toto du fond de la classe.
Toto surprend ses parents dans leur chambre en train de faire l'amour. Aussitôt,
il fonce dans la chambre de sa grand-mère, lui saute dessus et commence à la
déshabiller. Le père attiré par les cris de la grand mère arrive affolé :
"- Mais Toto, que fais-tu ?!
- Celui qui nique ma mère, j'lui nique sa mère !"
C'est la communion de toto et, comme le veut la coutume, après la bouffe chacun
y va de sa petite histoire. Toto demande à y aller de la sienne et chacun de
l'encourrager :
- Vas-y Toto.
- Eh bien y a rien, toujours rien.
- Mais voyons Toto ce n'est pas une histoire ça.
- Si.
- Mais non ça n'a pas de sens !
- Pourtant hier j'ai entendu Papa qui demandait à la bonne : "Alors, rien ?",
elle lui a répondu "Non, toujours rien", alors Papa a répondu "Ah ben merde
alors en v'la une histoire".
QUELQUES BREVES DE COMPTOIR POUR TERMINER
Quand un homme ouvre la portière de la voiture à sa femme. De deux choses : ou
bien la voiture est neuve ou bien c'est la femme.
La culture, c'est comme la confiture : moins on en a, plus on l'étale.
La mort, c'est un manque de savoir-vivre.
La vie est une maladie mortelle sexuellement transmissible.
Les mini-jupes, c'est comme les sondages : ça donne des idées mais ça cache
l'essentiel.
Contrairement à une femme, un livre se commence par l'introduction et se termine
par l'index.
Il est pratiquement impossible de caresser de la main gauche le sein d'une femme
en tournant dans le sens des aiguilles d'une montre et de se frotter en même
temps le haut du crâne avec la paume de l'autre main en tournant dans le sens
contraire sans que la femme ne finisse par s'apercevoir qu'on s'amuse à faire
des conneries au lieu de lui faire l'amour avec ferveur.