Faîtes le plein de contrepèteries !



Par The Beast

En me promenant sur Internet, je me suis permis de recopier quelques centaines de contrepèteries bien vulgaires. D'ailleurs je vous livre l'adresse où je les ai trouvées (les possesseurs de la version HTML n'ont qu'à cliquer sur le nom du site pour y jeter un coup d'oeil) : «http://www.mygale.org/~croco/RIRE/rire.html»

J'ai tout remis en page, corrigé, classé... alors j'espère que vous apprécierez le résultat final, avec tout le mal que je me suis donné ! Les premières contrepèteries contiennent la solution, mais pour la suite vous devrez vous démerder par vous-mêmes ! J'en ai même trouvé 2 en anglais, elles sont en premier (dingue non ?).



Contrepèteries avec leurs solutions



After a bath, each girl has her soul full of hope.

After a bath, each girl has her hole full of soap.


Faster than the speed of night.

Faster than the need of spite.


Comment, ma fille, ces mythes vous abusent ?

Comment, ma fille, ces bites vous amusent ?


Amène le porc !

A mort Le pen !


A force de mouiller les fiches, j'arrive au fond de la colle.

A force de fouiller les miches, j'arrive au con de la folle.


Le cuisinier entame une vache marginale.

Le cuisinier entame une marche vaginale.


J'ai senti des rillettes en fut.

J'ai senti les fillettes en rut.


Il y a de superbes chambres au mois.

Il y a de superbes membres au choix.


A l'hotel du Bon Coucher, j'ai goûté un vieux marc très doux.

A l'hotel du con bouché, j'ai goûté un vieux dard très mou.


A l'idée de voir la Chine, la jeune fille est envahie d'une étrange paleur.

A l'idée de voir la pine, la jeune fille est envahie d'une étrange chaleur.


A la boutique des Milles Bottes, on solde des tennis de pro.

A la boutique des bites molles, on solde des pénis de trop.


A quoi bon me pousser pour que je vous trompe ?

A quoi bon me trousser pour que je vous pompe ?


Achète, que je rie !

Arrête que je chie !


Admirable folle. Il ne lui manque que la paresse.

Admirable parole. Il ne lui manque que la fesse.


Admirez donc l'écaille de ces moules.

Admirez donc les couilles de ces mâles.


Affaissant subitement son broc, le garcon laitier mouilla les fiches de la dactylo et chuta dans la jatte.

Abaissant subitement son froc, le garcon laitier fouilla les miches de la dactylo et juta dans la chatte.


Ah ! Que j'envie votre brasse !

Ah ! Que j'embrasse votre vit !


Ah, Monsieur, quel site a votre balcon !

Ah, Monsieur, quel bite a votre sale con !


Appréciez le tout de mon cru !

Appréciez le trou de mon cul !


Après avoir observé des piliers de mine, la femme de l'ingénieur affirme qu'un vieux veilleur ne peut pas être un bon boiseur.

Après avoir observé des milliers de pines, la femme de l'ingénieur affirme qu'un vieux voyeur ne peut pas être un bon baiseur.


Après l'anis allumé, le vent est trépidant.

Après l'anus à limer, le vit est très pendant.


As-tu vu le curé ramener la nonne ?

As-tu vu le curé ramoner la naine ?


Au couvent, le confesseur s'endort.

Au couvent, le con des soeurs sent fort.


Avant de mettre mon ampoule à la douille, j'ai commencé par brancher son culot.

Avant de mettre mon andouille à la poule, j'ai commence par branler son cul chaud.


Avez-vous entendu parler de ces mites qui courent sur les biches ?

Avez-vous entendu parler de ces bites qui courent sur les miches ?


Bernard Pivot en a vu défiler, des bouquins, sur la Deux.

Bernard Pivot en a vu défiler, des boudins, sur la queue.


C'est en se baignant qu'elle l'avait conçu

C'est en se baignant qu'elle lavait son cul.


C'est parce qu'elle s'en fout que son mari est mort.

C'est parce qu'elle sent fort que son mari est mou.


C'est pour moi une sacrée bête qu'un faucon.

C'est pour moi une sacrée fête qu'un beau con.


C'est sur le quai qu'on lave les bidons.

C'est sur le bidet qu'on lave les cons.


C'est un spécialiste du tennis en pension.

C'est un spécialiste du pénis en tension.


Ca fait du bien de revoir le vieux lycée Ampère.

Ca fait du bien de revoir le vieux pisser en l'air.


Ca m'a tout l'air d'un poids ferreux.

Ca m'a tout l'air d'un pet foireux.


Ce camp a été victime d'un coup de semonce.

Ce con a été victime d'un coup de semence.


Ce cas de Corée me turlupine.

Ce cul de curé me tord la pine.


Ce jeune homme danse comme un ballot.

Ce jeune homme bande comme un salaud.


Ce petit camp n'est pas désagréable a la longue.

Ce petit con n'est pas désagréable a la langue.


Ce pignon a une royale mine.

Ce mignon a une royale pine.


Ce que j'aime dans le clip de Madonna, c'est le son.

Ce que j'aime dans le slip de Madonna, c'est le con.


Ce roc est plein de confort.

Ce con est plein de roquefort.


Ce sont toujours les bons qui nous quittent...

Ce sont toujours les cons qui nous bitent...


Ces demoiselles m'autorisent à prendre des écus dans leurs bas.

Ces demoiselles m'autorisent à prendre des culs dans leurs ébats.


Cet engin à roulettes est-il décapotable ?

Cet engin à roupettes est-il décalotable ?


Cet oiseau aime bien mettre son nid entre deux bouchons.

Cet oiseau aime bien mettre son bout entre deux nichons.


Cette Berbère a un nom bien Kabyle !

Cette Berbère a un con bien habile !


Cette agitation de Novembre accroîtra encore notre malheur.

Cette agitation de nos membres accroîtra encore notre valeur.


Cette décharge de foudre m'a enlevé toute ma poutre.

Cette décharge de foutre m'a enlevé toute ma poudre.


Cette fille a dans la peau un grain de fantaisie.

Cette fille a dans la fente un grain de poésie.


Combien leur faut-il de briques pour qu'elles se taisent ?

Combien leur faut-il de triques pour qu'elles se baisent ?


De son amour elle lui cria l'aveu.

De son amour elle lui vrilla la queue.


De vieux messieurs bedonnants s'evertuaient sur leurs frites.

De vieux messieurs fredonnants s'evertuaient sur leurs bites.


Dépassé par cette lutte, il se retira en soupirant.

Délassé par cette pute, il se retira en soupirant.


Dès que l'on touche à son petit banc, l'enfant boude.

Dès que l'on touche à son petit bout, l'enfant bande.


Des vendeuses pétillantes proposent quelques fripes.

Des vendeuses frétillantes proposent quelques pipes.


Donnez un bon coup de batte à ce Democrite !

Donnez un bon coup de bite à ce démocrate !


Elle hésitait à dévoiler son but devant tant de candeur.

Elle hésitait à dévoiler son cul devant tant de bandeurs.


Elle s'est réveillée avec deux puces dans le cou.

Elle s'est réveillée avec deux pouces dans le cul.


En se branchant avec ses fils, la standardiste découvre du son dans son cable.

En se branlant avec ses fiches, la standardiste découvre du sable dans son con.


Gentiment, la petite Cosette nous a offert son jus.

Gentiment, la petite Josette nous a offert son cul.


Il essaya vainement de prendre la flûte de pan.

Il essaya vainement de prendre la pute de flanc.


Il est défendu aux dames de queter sur un pliant.

Il est défendu aux dames de peter sur un client.


Il est défendu de scier dans le chantier.

Il est défendu de chier dans le sentier.


Il faut brancher les colonnes.

Il faut branler les cochonnes.


Il faut faire attention a l'age du vaccin.

Il faut faire attention a l'axe du vagin.


Il faut rassembler beaucoup de fonds pour former des cliques.

Il faut rassembler beaucoup de cons pour former des flics.


Il faut retrousser la culotte pour enfiler les patins.

Il faut retrousser la calotte pour enfiler les putains.


Il faut savoir tirer un trait d'un seul coup.

Il faut savoir tirer un coup d'un seul trait.


Il n'est pas difficile de mettre les chèques en valeur.

Il n'est pas difficile de mettre l'évèque en chaleur.


Il n'y a pas de quoi, ma soeur, pour un si petit don !

Il n'y a pas de doigt, ma soeur, pour un si petit con !


Il ne faut jamais basculer sur le terrain de l'enquête, déclarait le vieux limier qui n'arrêtait pas de fumer.

Il ne faut jamais enculer sur le terrain de basket, déclarait le vieux fumier qui n'arrêtait pas de limer.


Il ne faut pas chourrer le bien du voisin.

Il ne faut pas bourrer le chien du voisin.


Il ne veut pas qu'on le chipotte quand il trie.

Il ne veut pas qu'on le tripote quand il chie.


Il vaut mieux ne pas trop allaiter la biche.

Il vaut mieux ne pas trop allécher la bite.


Il y a des résidus de pierre dans la saline.

Il y a des résidus de pine dans la salière.


Il y a des sites sans bosses.

Il y a des bites sans sauce.


J'ai du tracas jusqu'au cou.

J'ai du caca jusqu'au trou.


J'ai laissé tremper ma botte dans votre citerne.

J'ai laissé tremper ma bite dans votre Sauterne.


J'ai trouvé Marion les laissant faire.

J'ai trouvé Marion les fesses en l'air.


J'aime vachement ton frangin.

J'aime franchement ton vagin.


J'aimerais prendre mon thé avec ces deux piétons.

J'aimerais prendre mon pied avec ces deux tétons.


Je gémis sans pouvoir lutter.

Je l'ai mis sans pouvoir juter.


Je n'ai pas de rebord à mes épaulettes.

Je n'ai pas de remord à baiser Paulette.


Je préfère ce simple anjou au jus de la treille qu'on met en boutique.

Je préfère ce souple engin au jus de la trique qu'on met en bouteille.


Jeune homme, ces crampes vous font-elles bouder ?

Jeune homme, ces croupes vous font-elles bander ?


Cache ton dos si tu ne veux pas qu'on te jette a la rue.

Cache ton dos si tu ne veux pas qu'on te jute a la raie.


La canicule n'a rien pour m'emballer !

La canibale n'a rien pour m'enculer !


L'abbé se dresse en chaire devant ces colonnes.

L'abbé se dresse en l'air devant ces cochonnes.


L'anesse a le feu au derrière.

La fesse a le noeud au derrière.


L'émir du Koweit a été forcé de baiser les mains de Saddam.

L'émir du Koweit a été forcé de baiser les seins de madame.



A vous maintenant de découvrir les solutions !!!



Les contrepèteries religieuses


L'abbé devient fou entre deux messes.

La petite nonne aime les grands boeufs.

L'abbé déplore la foule.

Le rabbin écorchait l'hébreu et sa femme l'écossait.

Aujourd'hui, petite Marion, combien rapporta votre quête ?

Pourquoi, seigneur, avoir mis le cou si près du tronc ?

Elle a lassé la pitié des moines.

L'abbé a bien de la peine à tirer un écu de son tronc

Convertissez mon père !

On déplore l'incontinence du père.

La rosière songe à la mine orgueilleuse du père.

Les jeunes filles n'aiment guère que l'on leur fasse pénétrer les voies de Dieu.

Hélas, mon fils, c'est votre peine qui vous mine.

Votre compère a l'air d'un saint !

Je trouve, m'a dit le curé, ces satins de jeunes mariées pudiques.


Contrepèteries sur la nourriture


Votre poire a un gout de terrine.

Vous faut-il des nouilles encore ?

Le garçon d'honneur a léché le confit d'oie.

Est ce que les moules aiment l'épinette ?

Si vous voulez qu'elles goutent, donnez leur donc des flans !

La fermière a une poule qui mue.

Le cuisinier met du coeur à ses bouillons.

Vous videz vos nouilles sur ma cape !

Passe moi le rhum, que je t'en brêle dans la cuillère.

Admirez l'écaille de nos moules.

Les gueules noires portent leur pain à la mine.

la cantinière a un horifique bénéfice.

Il faut être peu pour bien diner.

la cuvette est pleine de bouillon.

Comment peut on dîner avec si maigre part.

Il dîne comme un pieux.

Si tu ne bouffe pas mon chou, je ne toucherais pas à tes cailles.

Grand-père, grand-père, vous avez de la mousse à la pistache.

La duchesse rêve de groupe de cailles.

J'aime l'escalope sur la belle salade.

Gélatine profanée.

Ils sont trop pressés pour diner.


Fonctionaires et travailleurs


Le champion jette avec puissance.

Le facteur ne veut pas qu'on chipote quand il trie.

Le gros entrepreneur pétrit le béton à la tonne.

La paysanne rêve devant un beau vendeur.

La belle antiquaire emporte dans ses caisses le produit de mes fouilles.

L'inspecteur voudrait voir les bons cahiers.

La femme du mineur est passée sous des pilliers de mine.

Le préfet se réjouit de passer des Landes au Gard.

Le banquier racole des fonds verreux.

Ma bonne secoue les mittes de mes habits.

Le chauffeur a brûlé la pente.

Le garagiste a des calles souillées.

La paysanne regarde pousser les épis.

Le chirurgien enpute une jambe

Les professeurs admirent le factum du recteur

Je n'arrive pas à trouver mes carpettes sur la route.

La speakerine brouille l'écoute du speaker qui a une panne de micro.

Le jardinier binne avec sa pelle.

On reconnaît les concierges à leur avidité.


Expressions courantes et citations


Le poète qui rève est un néant fécond. (VICTOR HUGO)

Il court, il court, le furet.

Quelle bouille !

Ce sont toujours les bons qui nous quittent.

Je tournai vainement ma peine vers les livres. (LAMARTINE)

La comédie nous enseigne à détester nos ridicules. (MOLIERE)

Il ne faut pas confondre la fine et l'épaisse.

C'est long comme lacune !

Quelle joie de se sentir quitte au but.

Ce jeune homme sort de l'école des mines de Paris.

Méfiez vous de la pétulence du flatteur.

Que de peine me fait votre malice.

En dépit de la paresse, vive la France !

Allons, ma fille, essuie ça vite et bien.

Salut Patrick !


Les contrepèteries militaires et policières


Le capitaine redoute les proues qui tuent.

Le général dut aller jusqu'au bout du camp pour atteindre le but du génie.

Il est émouvant le pétardier derrière le char.

Le sous-marin recherche les fonds curieux.

La résistance excite les sections de rapine.

En quittant le quai, le soldat réclame un bidon.

Soldats, c'est en dressant vos parts que la cantinière s'est souillée les mains.

Le général devint pâle à cette nouvelle subite de l'action.

Il faut un troupier pour forcer le pont.


Le tourisme


Quelle beauté de sites!

A ces sites de Bologne, je préfère les mines de Pompei.

il n'y a rien de meilleur que le goût de Mont Blanc.

Il est à la tête de l'Afrique.

L'afrique est bonne hôtesse, ses canicules m'emballent.

Pour les Arabes, le bout du globe c'est le Zan.

Les Nippons contribuent au redressement de la Chine.

La jeune fille contemple le plan qui vient de la Guinée.

Les laborieuses populations du Cap.

Ce sont des sites pour bâtir.

La bute de l'Autriche.


Le propre de l'homme


Ta mine lui a toujours inspiré de la pitié.

Je préfère te parler d'un ton couvert.

Il a ressorti le plan de la gauche.

Quand on est saoûl, on a plus de remords.

Il a plongé la fée dans l'attente.

Superman a une bouille incroyable.

Elle m'a mentie, la sotte.

L'épicurien recherche les sources du bonheur.

Votre père a l'air mutin.


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