Pieces of Mind (Partie 2)

 

Par QueST

 


 

« Tu veux faire du Hard-Rock ? Bon j'explique à ta mère ce que c'est. Chérie, le Hard-Rock c'est un rock très violent pratiqué par de jeunes gens qui critiquent la société. Comment ? Vous la chiez ? Bon alors par de jeunes gens qui chient la société ! »

 

Sketch d’Alex Metayer

 


 

" - Putain Ced' ton copain a l'air d'écouter un truc hyper violent ! C'est quoi ?
- Michel Fugain !
- Connais pas ! C'est du Death ? Du trash ?
- Euh… pas vraiment…
- Je peux écouter pour voir ?
- Ouais, vas-y !
- Putain tes piles sont nazes ou quoi, ça grésille !
- Non, non, là il chante ! "

 

Note : cette discussion mémorable date d'un tournoi de Hand-Ball de la ville (Isle s/ Sorgues) auquel nous avions participé pour déconner à l'époque où nous étions en Première. J'avais fait venir tous mes potes : Popol, Jym , Tony et Co. Entre deux matchs, on écoutait de la zique au walkman couchés sur le stade - moi écoutant du hard et Jym... Michel Fugain - « Une belle histoire » pour ceux qui connaisent ;-). Et, contrairement à la logique, je restais calme tandis que Jym gueulait comme un fou en tapant sur le sol. Un trasho - tendance death ! - que je connaissais est venu me dire bonjour et voilà la raison de cette histoire mémorable - une classique qu'on se raconte encore au milieu des parties de JDR pour se fendre la gueule. Ah, c'était le bon temps que tout cela.

 


 

Une journée en enfer

« [...] La plupart se réveilleront avant leur radio réveil. Comme lorqu'ils étaient amoureux. Les filles mettront le plus classe de leurs tailleurs. Les mecs cireront leurs vieilles chaussures. Et tous se regarderont à de nombreuses reprises devant la glace de leur salle de bains. Une fois la coiffure impeccable, le métro, à cette heure si matinale, tiendra de la nouvelle découverte. Les wagons seront surpeuplés de femmes et d'hommes actifs. « Que des anciens stagiaires, en quelque sorte » me direz vous.

En fin d'après midi, après votre fameuse première journée, vous retrouverez les mêmes personnes. [...] On appelle cela le monde du travail. [...] Sans le savoir encore , vous venez d'en prendre pour quarante ans minimum. De la mesquinerie des petits chefs, de l'ambition dévorante de votre ignoble collègue, des espoirs déçus et du stress d'avoir un jour à chercher un autre job.

Oui, votre premier jour de stage est aussi le dernier d'une certaine adolescence. Mais qu'importe, puisque le soir venu, lorque vous direz à votre maman au téléphone que, dans le service du café, vous avez été un crack, et que vous êtes devenu le prince de la photocopieuse, elle vous susurrera à l'autre bout du combiné : « c'est bien mon petit, tu deviens adulte. »

Adulte, vous savez, ce mot qui vous donnait la nausée, il y a quelques semaines encore.

 

Nicolas REY (Humeur / Le Figaro Grandes Ecoles et Universités [21/1/98])

 


 

N'oubliez jamais que le plus important, ce n'est pas le résultat mais le travail fourni pour y parvenir. Cela peut paraître bizarre mais c'est vrai : quand on veut à fond quelque chose, que l'on se défonse pour y arriver et que l'on atteint son but. eh bien on n'est pas aussi content que l'on pouvait le penser avant ! Certes, on est content d'avoir réussi mais pas autant que prévu. Le plus important, c'est donc le travail fourni, pas le résultat. Ceci fait que l'échec n'est pas forcément totalement négatif.

 


 

Living on a razors edge
Balancing on a ledge
Living on a razors edge

The evil that men do lives on and on.....
The evil that men do lives on and on.....
The evil that men do lives on and on.....
The evil that men do lives on and on.....

 

Extrait de « The Evil That Men Do » / Iron Maiden

 


 

Ayrton Senna a dit un jour quelque chose de très vrai à un de ses amis. Ce dernier, champion de Karting, lui a dit un jour que, malgré le fait qu'il soit champion en Kart, il ne serait jamais aussi bon que lui, car son titre en Kart ne valait pas un titre en Formule 1. Senna lui a répondu « Tu te trompes. Qu'importe la discipline, quand on est le meilleur, ça a la même valeur ! ».

 

A méditer.

 


 

« Racing, competing, its in my blood, its part of me, its part of my life, I've been doing it during all my life and it stands up before anything else... »

« La course, la compétition, c'est dans mon sang, c'est une partie de moi, c'est une partie de ma vie, j'ai fait cela toute ma vie et cela vient avant toute autre chose... »

 

Ayrton Senna da Silva (21/03/1960 - 01/05/1994)

 


 

« Mais l'homme est-il obsédé d'éternité, ou d'échapper à l'inexorable dépendance que lui ressasse la mort ? Survie misérable qui n'a pas le temps de voir s'éteindre les étoiles déjà mortes ! mais non moins misérable néant, si les millénaires accumulés par la glaise ne suffisent pas à étouffer dès le cercueil la voix d'un grand artiste. Il n'y a pas de mort invulnérable devant un dialogue à peine commencé, et la survie ne se mesure pas à la durée ; elle est celle de la forme que prit la victoire d'un homme sur le destin, et cette forme, l'homme mort, commence sa vie imprévisible. La victoire qui lui donna l'existence, lui donnera une voix que son auteur ignorait en elle. Ces statues plus éqyptiennes que les Egyptiens, plus chrétiennes que les chrétiens, plus Michel-Ange que Michel-Ange - plus humaines que le monde - et qui se voulurent une irréductible vérité, bruissent des mille voix de forêt que leur arracheront les âges. Les corps glorieux ne sont pas ceux du tombeau.

L'humanisme, ce n'est pas dire : « Ce que j'ai fait, aucun animal ne l'aurait fait », c'est dire : « Nous avons refusé ce que voulait en nous la bête, et nous voulons retrouver l'homme partout où nous avons trouvé ce qui l'écrase. » [...] car l'homme ne devient homme que dans la poursuite de sa part la plus haute ; mais il est beau que l'animal qui sait qu'il doit mourir, arrache à l'ironie des nébuleuses le chant des constellations, et qu'il le lance au hasard des siècles, auxquels il imposera des paroles inconnues. Dans le soir où dessine encore Rembrandt, toutes les Ombres illustres, et celles des dessinateurs des cavernes, suivent du regard la main hésitante qui prépare leur nouvelle survie ou leur nouveau sommeil.

Et cette main, dont les millénaires accompagnent le tremblement dans le crépuscule, tremble d'une des formes secrètes, et les plus hautes, de la force et de l'honneur d'être un homme. »

 

[André Malraux / Extrait de « Les Voix du silence »]

 


 

« He left as though he were wandering in the forests of the sea bottom, lost in a monstrous world where he himself was the monster. He was alone. The past was dead, the futur was inimaginable. What certainty had he that a single human creature now living was on his side ? »

 

Extrait de « 1984 »

 


 

« Il ne faut pas confondre « intelligence artificielle » et « bêtise naturelle » ! »

 

Didier « dicdic » Cuménal (Professeur au CERAM ESC Nice)

 


 

« Ne me dites pas que ce problème est difficile : s'il n'était pas difficile, ce ne serait pas un problème. »

 

Maréchal Foch

 


 

Lisez le livre de Trin Xuan Tuan « Le Chaos et l'Harmonie » : c'est vraiment excellent ! Vous saurez tout sur la création de l'univers, les trous noirs, la théorie d'Einstein (pour les incultes je parle du fameux E=MC2 et tout se qui s'en suit !), les fractales, le temps (et son évolution selon la vitesse) bref : la totale. Et l'auteur n'est pas "la moitié d'un con" (? Popol the butcher) puisqu'il est astrophysicien et enseigne aux USA et à Paris II.

 

Donc, pour résumer, ce livre est génial, il se lit bien et contient de nombreuses touches de poésie, comme si l'auteur rêvait et s'émerveillait devant le potentiel créatif de l'univers. Que dire de plus si ce n'est que le livre fait plus de 500 pages, qu'il est publié chez Fayard et qu'il coûte... 160 francs ! Bon, je sais, c'est cher mais franchement, après l'avoir lu on se sent bien moins con ! ;-) Dans tous les cas ce livre m'a donné plein d'idées de nouvelles ! ;-) Reste à trouver le temps de les écrire.

 


 

« Le temps détruit tout ce qu'il crée, et la fin de toute séquence temporelle est, pour l'entité qui y est impliquée, la mort, sous une forme ou une autre. La mort n'est entièrement transcendée que lorsque le temps est transcendé ; l'immortalité est pour le conscient qui s'est évadé hors du temporel jusque dans l'intemporel. [...] Dans toutes les philosophies et religions traditionelles du monde, le temps est considéré comme le trompeur, la prison et la chambre de torture. »

 

[Extrait de « Quelques réflexions sur le temps » par Aldous Huxley]

 


 

"The Giger's work confuses and perturbs us due to its enormous evolutive extent and produces a phantasmagoric impression... In this pictures we can see ourselves as creeping embryos, as fetal creatures, larvas protected by the bundle of our ego, waiting the moment of our metamorphosis and new birth. Our cities and civilizations show us like bees' honeycombs, ants' colonies, populated by creeping creatures: Ourselves."

 

Timothy Leary, Hollywood, june 1981.

 


 

"I knew Li in 1966 when she studied theatre at K. Rellstab's studio in Zurich. She was beautiful and she was my wife until her death in 1975. In 1974, when the theatre didn't satisfy her any more, she inaugurated her own gallery... There took place the legendary shoes' exposition, at which I filmed guests using two hollow breads as shoes."

"The first time I heard something about the CTHULHU myth and the Necronomicon was when a swiss writer, Robert B. Fischer, edited a magazine called Cthulhu-News. I took charge of the illustrations for the second issue. The Necronomicon includes the myth of the great gods of almost unpronounceable names: CTHULHU and YOG-SOTHOTH, who -slept at the profundity of the ground and the seas- wait for the moment in which the stars determine their reappearance. When I was looking for a title for my book of tenebrous illustrations, my teacher Sergius Golowin (known swiss mythologist) did reference to Lovecraft and was of the opinion: Why don't call it simply Giger's Necronomicon, whether only exists fragments of the original book ?"

"In an age in which the surrealists' phrase « beautiful like the meeting of an umbrella and a sewing machine at the dissection table » can be reality, and in which exists the atomic bomb, the Biomechanoids are in standing... I understood them as the fusion in harmony of the technology, the machinery and the creature. The genetic research still prepare some horrors for us. The clonation is a nightmare by itself. Siamese twins working as laborers; an abdomen, two heads, four arms."

 

H. R. Giger.

 


 

« Je sais pas pourquoi, mais j'ai toujours mieux convaincu avec une batte de base-ball qu'avec des discours. »

 

Marc Cataldo (Responsable du rayon software / Boulanger - le Pontet)

 


 

« Le secret de ma forme ? Le sport ! Je n'en fais jamais. »

 

W. Churchill

 


 

Les mathématiques sont un palliatif aux esprits dénués d'imagination.

 


 

« L'importance majeure des accords mineurs »

 

Vous devez sûrement vous demander de quoi je cause, pas vrai ? Ben c'est le titre d'une BD de P'tit Luc ! Mais si j'ai récopié ce titre là, c'est simplement parce que je le trouve très bien. Voui! C'est tout, y a rien d'autre à dire là dessus : ça sonne bien à l'oreille ! ;-) Aaah, les goûts et les couleurs.

 


 

J'adore la littérature policière - mais attention, pas les daubes infâmes : en ce qui me concerne, j'aime ne connaître le nom du coupable qu'à la fin et me laisser piéger par un scénario génial et machiavélique ! - et s'il y a bien quelque chose de « comique » avec les romans policiers, c'est bien leurs titres. En voici quelques uns qui valent leur pesant de cacahuètes :

 

" La mariée perd la tête " (John Dickson Carr)
" Satan vaut bien une messe " (John Dickson Carr)
" Il n'aurait pas tué patience " ( Idem)
" Un corbillard chasse l'autre " (Edmund Crispin)
" La tournée du bourreau " (Paul Gerrard)
" On n'enterre pas le Dimanche " (Fred Kassak)
" Le bourreau prend la pose " (Peter Lovesey)
" Pour le meilleur et pour la mort " (Idem)
" La mort fait l'appel " (Patrick Quentin)
" Vous qui n'avez jamais été tué " (O. Séchan et I. Maslowski)
" Poison d'Avril " (Louis C. Thomas)
" Coup de sang " (Idem)
" Il court, il court le cadavre " (Bachellerie)
" La mort vous invite " (Paul Halter)
" Les saints ne sont pas des anges " (Cleo Jones)
" Un week-end à tuer " (Alexis Lecaye)
" Le Diable au paradis perdu " (Pierre Salva)
" Le Démon de Sainte-Croix " (Stanislas André Steeman)

 

Pour ceux qui seraient interessés, tous ces livres sont disponibles dans la collection « Le Masque » !

 


 

SCOOP : EDO / SCT1, soucieux de coller à l'actualité, va changer de pseudo : désormais il sera SDRAM / SCT1 !!!

 

Ah, quel humour quand même ! ;-) Non, franchement, j'avoue que c'est nul mais cette connerie m'est venue à l'esprit alors que j'allais acheter, un jour, mon traditionnel sandwich poulet-mayonnaise à la pause « casse-croûte » durant mon stage de vente à Boulanger. Allez savoir pourquoi mais je me suis dit que j'allais la mettre là, dans ce texte ô combien intéressant ;-) dans l'espoir de faire rire.

 

Franchement, si quelqu'un a rigolé en lisant ça, un petit conseil: consulter un spécialiste, et vite ! ;-) EDO, je m'excuse ;-) mais là, j'ai craqué. Je vais de ce pas me flageller avec des orties fraîchement coupées !

 


 

Contrairement à notre ami White Ninja (NDMM : hello à toi, Grand Gourou Philosophe ! :-), j'aime bien quand The BeaST insère des « NdtheBeaST » dans mes textes : je trouve que cela les rend plus vivants. Aussi, je m'amuse « à lui tendre des perches » ! ;-)

 


 

En théorie, il a du inséré un « NdtheBeaST » ci-dessus, héhé. J'ai bon ?

 

[NdST : non, parce que j'ai changé de pseudo. Dommage, tu as perdu ton pari, petit scarabée !]

 


 

Un petit texte qui devrait plaire à pas mal d'entre vous je présume ;-)

 

Life on Mars?

A group of scientists led by David McKay of NASA's Johnson Space Center has published an article in the August 16 issue of Science magazine announcing the discovery of evidence for primitive bacterial life on Mars. An examination of a meteorite found in Antarctica and believed to be from Mars shows: 1) hydrocarbons which are the same as breakdown products of dead micro-organisms on Earth, 2) mineral phases consistent with by-products of bacterial activity, and 3) tiny carbonate globules which may be microfossils of the primitive bacteria, all within a few hundred-thousandths of an inch of each other. Based on age dating of the meteorite, the following scenario has been proposed:

1. The original igneous rock solidified within Mars about 4.5 billion years ago, about 100 million years after the formation of the planet. (Based on isotope ages of the igneous component of the meteorite)

2. Between 3.6 and 4 billion years ago the rock was fractured, presumably by meteorite impacts. Water then permeated the cracks, depositing carbonate minerals and allowing primitive bacteria to live in the fractures.

3. About 3.6 billion years ago, the bacteria and their by-products became fossilized in the fractures. (Based on isotope ages of the minerals in the fractures)

4. 16 million years ago, a large meteorite struck Mars, dislodging a large chunk of this rock and ejecting it into space. (Based on the cosmic ray exposure age of the meteorite)

5. 13,000 years ago, the meteorite landed in Antarctica.

6. The meteorite, ALH84001, was discovered in 1984 in the Allan Hills region of Antarctica.

 

How do we know the meteorite came from Mars?

Meteorite ALH84001 is a softball-sized igneous rock weighing 1.9 kilograms (4.2 pounds). It is one of twelve meteorites discovered on Earth which are thought to be from Mars. Most meteorites formed early in the history of the solar system, some 4.6 billion years ago. Eleven of the twelve martian meteorites have ages less than 1.3 billion years, ALH84001 at 4.5 billion years old being the only exception. All twelve are igneous rocks crystallized from molten magma in a way which suggests they formed in a planetary-sized body, not an asteroid. They have similar oxygen isotope characteristics to each other and higher concentrations of ferric iron, water, and other volatiles than other meteorites. All twelve also show evidence of shock heating, presumably as a result of the impact which ejected them into space. Gas bubbles trapped in one meteorite, EETA79001, have a composition which matches the current martian atmosphere as measured by the Viking Landers, compelling evidence that this meteorite and by association the others, including ALH84001, came from Mars.

The indication of life hinges on three important pieces of evidence, all discovered within mineralized fractures in the meteorite in close proximity to each other. One is the discovery of abundant polycyclic aromatic hydrocarbons (PAHs) on the fracture surfaces. These are a family of complex organic molecules which are commonly found on dust grains and certain types of meteorites in outer space, presumably formed by non-biological chemical reactions. However, when micro-organisms die they break down into PAHs as well. The mixture of PAHs found on ALH84001 is very different from that found on dust grains and other meteorites, suggesting the possibility of a biological origin. Thousands of different types of PAHs are found all over the Earth, but those in ALH84001 do not appear to be contaminants which have leaked into the meteorite.

Another line of evidence involves unusual mineral phases found beside the PAHs. These carbonate minerals form "globules" about 50 micrometers across, some of which have cores containing manganese and rings of iron carbonate and iron sulfides, and also contain magnetite and pyrrhotite. These minerals bear strong resemblance to mineral alterations caused by primitive bacteria on Earth. This diversity of minerals in such a small area, formed under the presumed conditions, seem to make a non-biological origin unlikely.

Finally, high-resolution scanning electron microscopy has revealed the presence of tiny "ovoids" which may actually be fossil remnants of tiny (20 to 100 nanometer) bacteria. If so, they are 100 times smaller than any bacteria microfossils found on Earth, except for some supposed "nanofossils" recently discovered in very young terrestrial rocks, a finding currently not generally accepted as fossil organisms.

Taken together, the findings are thought to be strong evidence pointing to primitive bacterial life on Mars. The PAHs, unusual mineral phases, and "microfossils" were all located within a few micrometers of one another, indicating a relationship which may require a biological explanation. However, much work will be done on this in the future, including searching for amino acids, other fossil structures such as cell walls, other types of fossils, and fossils of bacteria frozen in the act of reproducing. Mars is almost certain to have been warmer and wetter in its distant past, so the existence of primitive life has been a tantalizing possibility for some time, but the real search may be just beginning.

 


 

« Je suis un imbécile »

Dernièrement, j'ai rencontré un monsieur qui se vantait d'être imbécile. Il disait : "Je suis un imbécile !" Je lui ai dit : "Monsieur ... c'est vite dit !" Tout le monde peut dire : "Je suis un imbécile !" Il faut le prouver ! Il m'a dit : "Je peux ! " Il m'a apporté les preuves de son imbécilité avec tellement d'intelligence et de subtilité que je me demande s'il ne m'a pas pris pour un imbécile !

 

Raymond Devos

 


 

« Nous vivons en avant , mais nous ne pouvons comprendre qu'à reculons »

 

Kierkegaard

 


 

Los Gatos Weekly-Times : « Holocaust memorial dedicated »

 

The Jewish Community Center is holding a public dedication ceremony for its Holocaust Memorial Wall Oct. 19 at 3 p.m. in the JCC's central courtyard.

The memorial wall, made of Jerusalem stone donated by Holocaust survivor Jack Tramiel and his family, stands approximately 12 feet by 12 feet. Palo Alto architect Stan Field, whose father's family died in the Holocaust, designed the wall to resemble the dome of Rachel's Tomb near Jerusalem as well as the Western Wall, considered the last remnant of the Second Temple.

An inscribed four-by-six-foot bronze plaque on the wall includes the design of a hand with numbers tattooed on it, representative of the serial numbers Nazis tattooed on concentration camp prisoners. The numbers belong to Richard Hirsch, an active supporter of the memorial project, who died in July.

The memorial's creation and installation represent the donations and efforts of many people and entities, including the South Bay Holocaust Group, the JCC and the Jewish Federation. Tramiel, along with Ken Levy of KLA Associates, donated the remainder.

The JCC is located at 14855 Oka Road in Los Gatos. For information, call 356-3636.

This article appeared in the Los Gatos Weekly-Times, October 15, 1997. (c) 1997 Metro Publishing, Inc. All rights reserved.

 


 

Un petit article pour les nostalgiques (dont nous sommes tous !) des années d'or d'Atari et de Jack Tramiel ; certains verseront sûrement une petite larme en souvenir du bon vieux temps.

 

A Tough Man For A Tough Job (Newsweek magazine, July 16, 1984)

The following article appeared in the Business section of Newsweek magazine. It covers Warner Communications' sale of Atari's home computer and video-game assets to Jack Tramiel, former CEO of Commodore International.

Jack Tramiel has always whipped through the personal-computer market at microchip speed. Following his January exit from Commodore International, a company he had helped found, he lined up a low-cost computer-assembly line in the Far East and raised $75 million in capital. Last week Tramiel was right back on center stage, taking over the hemorrhaging Atari home-computer operation from Warner Communications. After negotiating the takeover deal well into the early-morning hours on Monday, Tramiel typically did not wait around to sign the final papers. Instead, he immediately took off from New York for Sunnyvale, Calif. By taking advantage of the three-hour time difference, he was on hand at Atari headquarters in time to begin the week's work.

The Atari-to-Tramiel transaction was a startling one even for the volatile small-computer business. The sale of the troubled video-games company had been rumored for months, but the most likely buyer had seemed to be N.V. Philips, the Dutch electronics giant. Equally surprising were the terms of the deal: Warner all but gave Atari away, prompting one Wall Street analyst to call it "the most embarrassing" takeover transaction of 1984. Tramiel put up $240 million in notes, but they carried below-market interest rates. The two parties also traded stock warrants. Tramiel got an option to buy 1 million Warner shares at $22 each, and Warner got an option to buy 32 percent of the new Atari operation -- which represents the seller's only real chance to profit on the deal. Under Warner, Atari had been unable to make a successful transition from games to computers, something the smart, ruthless Tramiel may be able to do.

Tramiel, who likes to observe that "business is war," lost no time in exercising his unique style of management at Atari. He immediately put three sons into top management spots. Chairman James J. Morgan, hired by Warner only last September to turn Atari around, was gone by mid-week -- possibly to contemplate settlement of his long-term contract or another job at Warner. Virtually all of Atari's marketing and research people were fired-and within a month Tramiel is expected to have pared the company's worldwide employment from about 5,000 to a skeletal operation of no more than 1,500. The new owner promised to cut more than the payroll. He is said to have insisted on signing all checks himself, and insiders say he will try to get out of Atari's $6 million Olympics advertising campaign and its $10 million promotional deal with actor Alan Alda. (Warner, in fact, has set up a reserve fund to cover contract buyouts and any lawsuits.) "The company is being run almost as a start-up," says an Atari spokesman.

In effect, Tramiel has bought himself a manufacturing and distribution infrastructure, a famous brand name -- and time. It might have taken him two years to start up a new company from scratch. A master of low-cost manufacturing, Tramiel is now expected to shift at least some production of the Atari 800XL home computer to his new plant in Hong Kong. Lower production costs and sale prices might make the 800XL competitive enough in the low end of the market to help build up Atari's cash flow. Most experts then expect Tramiel to raise his sights and produce a computer selling for about $1,000 that will be competitive against Apple's Macintosh and the IBM PCjr. "People have figured out that you need more computer to do something interesting," says Egil Juliussen of Future Computing, a consulting firm, "and the market is moving that way." Some suggest the new entry might be ready for this Christmas season.

Atari has clearly no way to go but up. The video-games fad has fallen as spectacularly as it rose: in the last 18 months Atari has lost nearly $1 billion, more than wiping out the profits from its salad days. In recent weeks Atari's Silicon Valley headquarters has seemed like Death Valley. Morgan trimmed the payroll, creating tearful scenes in the corridors; but insiders say real cost control eluded him. The company's budgeting system made it easy to hide overruns, says one, and "rarely could a product manager quote you his unit cost or development cost." Atari announced new products at a frenzied pace, hoping that, in the words of one official, "something would be a big hit and save us." The introduction of the 7800 video game machine may have been the biggest mistake of all, The market for "dedicated" machines -- which only play games -- had already been destroyed by low-cost computers that not only play sophisticated games but do much more. Even Morgan's attempts to keep up employee spirits by announcing a dress-as-you-like day and a Friday beer party backfired among employees who thought he was making light of a dire situation.

No Relief: But Warner Communications was dead wrong if it figured its problems would end with the sale of Atari. The company's stock plunged more than $4 to close below $19 a share last week, and the entertainment giant may not win back a following on Wall Street until it finishes a restructuring plan that includes the divestiture of other operations. One prime candidate to follow Atari to the disposal bin is the Franklin Mint operation. And despite his reputation as Mr. Fixit, Tramiel's problems may be just beginning. The abrasive new man at Atari may have trouble courting independent dealers -- they all remember how Commodore abruptly shifted away from their outlets to mass merchandisers. What's more, the $75 million that Tramiel will invest in the new Atari is small change compared with what's in the till at IBM and Apple. "I suspect he bit off more than he can chew," says Fred Anschel, an analyst at Dean Witter Reynolds Inc. "But he has worked miracles before." It remains to be seen if Atari can fly again or if it is destined to be remembered as one of the best boom-to-bust stories of all time.

 

DAVID PAULY with MICHAEL ROGERS in San Francisco and CAROLYN FRIDAY in New York

 


 

Pour « m'amuser », j'ai tapé sous Word 97 le mot "Apple", et à ma grande surprise, il n'a pas été souligné en rouge : Word 97 connaissait donc ce mot, alors même que j'écrivais avec le correcteur en français. J'essayais "IBM", pareil ! "Compaq", "Hewlett Packard". Aucun problème : les concepteurs de Word 97 avaient inclu les noms des grands constructeurs informatiques dans la base de vocabulaire du logiciel ! Emerveillé par tant d'intelligence et de culture, j'ai tapé "Atari" et là, le mot... fut souligné !

 

Y a pas à dire : je DETESTE vraiment Micro$oft !

 


 

« - qu'est ce que tu fais là ? - ben... j'suis en train de chier ! - Ah... désolé. »

 

[Extrait de « Alarme fatale » / la scène délirante pastiche de la scène de la bombe sous les WC dans « L'Arme Fatale »]

 


 

« Je sais ce que tu es en train de te demander, connard : est ce que ce flingue a tiré 173 fois ou bien 174. Je t'avoue que dans tout ce merdier, j'ai pas bien compté ! Alors, tu tentes ta chance ? »

 

[Extrait de « Alarme fatale » / Emilio Esteves se prend pour Clint « Dirty Harry » Eastwood ;-) ]

 


 

" - j'espère que vous n'allez pas faire confiance à ce type : c'est un psychopathe, un névrosé, un danger public, un fou de la gachette…
- t'espères t'en tirer après ce que tu viens de dire ? "

 

[Extrait de « Alarme fatale » / Emilio « Colt » Esteves et la psychologue de la police. ;-) ]

 


 

« J'avais beau faire, je n'arrivais pas à oublier ce que j'avais vu ce soir-là. J'étais devenu nerveux. Si par hasard on m'adressait la parole sans que je m'y attende, je sursautais, comme si je craignais d'être découvert. Quelle étonnante coïncidence ! C'était Pierre qui m'avait demandé de l'accompagner chez des amis dont il m'avait parlé la veille. Je fus tenté de refuser, d'autant plus que le lendemain je devais présenter un rapport au conseil d'administration. Cela faisait deux jours que j'y travaillais mais bien que j'eusse résolu bien des problèmes, il restait beaucoup à faire. Et puis je pensai : « Après tout, j'ai besoin de me détendre un peu. Quand la soirée sera finie, peut-être pourrai-je me remettre au travail chez moi ». Et je partis. On se demande parfois pourquoi le ciel ne vous envoie pas un avertissement. Si j'étais resté au bureau ce soir-là, je serais encore un homme qui ignore la peur. »

 

[Extrait d'un texte dont l'auteur m'est inconnu mais aux intonations étrangement « lovecraftiennes » ; ce texte nous avait été donné en Prépa par le prof d'espagnol : on devait le traduire dans la langue de Cervantés ! Ben, je peux vous assurer que c'est pas facile du tout ! ;-) ]

 


 

On a beau dire, mais les jeux vidéos ont bien évolué depuis leur apparition, et la tendance s'accélère. Certes, ils ont beaucoup évolué au niveau esthétique mais la philosophie qui accompagne leur création a elle aussi changé. Avant, on savait qui faisait quoi, qui était le talentueux programmeur à l'origine du jeu et de ses performances. Steve Bak, Al Lowe, les Bitmap Brothers, Paul Cuisset, Eric Chahi. autant de noms célèbres à l'origine des rêves et des fantasmes de milliers (millions ?) de joueurs. Je pense que ce phénomène était lié aux machines : ST et Amiga devaient être poussés sans arrêt plus loin dans leurs retranchements pour espérer capter l'attention d'un public peu dupe. Ici, impossible de mettre en avant un manque de puissance ou l'absence de telle ou telle carte salvatrice pour se disculper de la médiocrité de son code : les architectures "fermées" des ST et Amiga poussaient les programmeurs a donner le meilleur d'eux mêmes, et le nom de tel ou tel génie du code servait déjà à attirer l'attention du public sur un jeu car on savait par avance qu'il allait repousser les limites théoriques de la machine. Et, devant nos yeux pulvérisés et / ou exorbités, le jeu marchait du feu de dieu et on marmonnait la Sainte Parole : "comment qu'il nous a fait ça ce furieux ?!"

 

Aujourd'hui, les programmeurs sont médiocres à deux niveaux : d'abord, ils n'ont plus besoin d'optimiser leur code. Si, un brin énervé, vous faite une remarque sur la lenteur d'un moteur graphique sur votre bécane, on vous rétorque que votre machine est dépassée, que vous êtes un néandertalien de l'informatique, que vous n'êtes plus dans le coup. Et que, gros golmon qu'on est, il faut aller raquer la dernière carte accélératrice de la mort à 2500 balles et que là, le jeu il est bien fluide ! "Unreal" est un excellent exemple ; je sais, je sais, vous devez vous dire que j'en fait un peu trop - voire que j'exagère - dans mes critiques sur ce jeu mais force est de reconnaître que la programmation du moteur 3D de la bête n'est pas exceptionnel dans le sens où il faut une machine de la mort pour lui bouger le cul. Il est très (trop ?) beau mais très (trop ?) lourd ! Je ne suis pas programmeur mais franchement, quand vous êtes obligé de rester en 640*400 sur un Pentium II 233 + Voodoo2 à 8Mo car au-delà ça rame, c'est une honte ! (NDMM : c'était un IBM Aptiva, certes, mais quand même !) Je sais que je me rabache mais "Quake II" n'a rien a envié à "Unreal" côté graphique avec une Voodoo2 et il marche très bien sans sur un P133, et ce en 640*480 (certes, il faut une carte 2D voire 2D/3D assez "robuste" du style S3 Trio ou Matrox Mystique mais bon.).

 

Zappy a tout a fait raison quand il écrit dans le ToXiC-MaG 14 que les programmeurs de démo sur PC sont médiocres : lui, il sait de quoi il parle ; il suffit de voir ses créations sur un simple STf pour se rendre compte que lui, c'est un vrai coder ! [Je ne dis pas ça pour lui passer un peu de pommade gratuitement, ni parce qu'il est Atariste (quoique... ;-) mais parce qu'il sait booster une machine avec ses neurones et pas avec votre porte-monnaie !] Et quand on sait que les demomakers sont l'élite des coders sur une bécane, on a peur (et on a raison !). Autre mode informatique propre à cette fin de siècle : le "patch" ! Ce mot "magique" à plusieurs sens, souvent complémentaires d'ailleurs : "stabilité", "optimisation", "je règle la jouabilité du jeu ", "je mets une IA dans le jeu", "je reconnais les cartes 3D"... trois mois après avoir tant bien que mal fini le jeu en question qui nous a coûté 350 balles (!). Et cela se démocratise vraiment trop, au point d'être vraiment risible : on nous vend des "bêta versions", on joue, ça plante, on réinstalle, ça replante, on gueule et hop ! on nous "patche" enfin le jeu : nous sommes devenus de vrai bêta testeurs ! Mais où est donc passé la technique ? Et le respect du client ? Il fut une époque où les éditeurs n'avaient pas de telles pratiques ! La démocratisation de l'informatique a des effets parfois étranges.

 

Les programmeurs (et les concepteurs) de jeux sont également médiocres au niveau de la créativité : depuis 2 ans, que sort-il sur PC ? Des clones de "Command & Conquer", de "Quake". Rien de neuf ! Enfin, il y a bien quelques (rares) bonnes surprises mais elles se comptent sur les doigts d'une main ! Quand on pense qu'il y a plein de gens avec des idées géniales et novatrices, c'est rageant ! Remarquez que le public, dans sa grande majorité, s'en cogne : tant qu'il y a des scènes cinématiques, du précalcul à donf... il est content ! Je n'ai jamais compris comment les jeux Cryo du style "Atlantis" , "Lost Eden" ont réussi a être des succès : c'est beau mais il n'y a rien à faire, la liberté de mouvement est limitée au possible. A titre d'info, plus les jeux sont cons, plus ils se vendent : exemple typique "Fort Boyard : le jeu" : descendu en flèche par la critique, il se vend très (trop !!!) bien ! Pareil pour "Les Visiteurs". Par contre, "Le Deuxième Monde" de Cryo (NDMM : comme quoi...) est un échec commercial alors qu'il est un des jeux majeurs de ces dix dernières années en terme de concept ! A croire que le grand public est constitué de poulpes !

 

Et les magazines informatiques sont coupables quelque part d'une partie de cet état de fait (NDMM : peut être que notre cher ToXiC-MaG est diffusé dans sur le CD d'un de ces fameux magazines. Hem... Je vais me faire de nouveaux amis moa. Boarf, de toute façon, j'm'en cogne, j'suis un vrai rebelle ;-) : comment, en effet, ne pas s'arracher les cheveux en voyant "Quake II" littéralement absent - et explosé ! - lors de la remise des "Gen d'or" par Gen4. Dans la rubrique "Quake-like", c'est "Unreal" qui gagne ! Je m'étouffe là ! A quoi ça sert que John Carmack (NDMM : ouaip, c'est un des rares coders valables sur PC avec John Romero et Michael Abrash...) il se décarcasse, hein ? Son moteur 3D n'est peut être plus le plus beau du marché, mais c'est sûrement le mieux fichu car il fonctionne sur la plupart des machines sans trop de problèmes et il sert de référence pour tous les tests de cartes 3D notamment. Se faire expulser comme un malpropre d'un genre qu'il a lui même créé : pfff, pire que Frankenstein ! Mais alors, l'hérésie, c'est "Unreal" qui obtient le prix de la meilleure optimisation 3D : c'est lent avec une Voodoo2 avec 8 Mo !!! Honteux que je vous dis ! Il sort un nombre important de jeux par mois, aucun ne suscite l'intérêt : c'est triste. On a continuellement des clones de clones. Le marché du logiciel risque de devenir aussi uniformisé que celui du hardware où le PC a une place (trop) hégémonique. Où est passé la créativité ?

 

Sans technique et sans créativité, on peut se demander où va le jeu vidéo.

 

C'était la (grosse) minute de haine !

 


 

Voilà! C'est donc la fin de ce "Pieces Of Mind". Je vais maintenant retourner à ma guitare pour essayer de sortir une pauvre note (NDMM: j'essaye de jouer du Maiden... Ben c'est pas facile, croyez moi!). Mais c'est à ce moment là, une fois que l'on s'est cassé la tête des heures sur des partitions de psychopathes qu'on se rend compte que les guitarites à la télé, c'est pas des vrais joueurs : ils font un peu de cinéma quoi. Les doigts ne bougent pas sur le manche ! Arf. Du playback guitaristique, la nouvelle révolution ?

 

Avant de vous quitter, je voudrais passer un petit hello à: (sans ordre particulier si ce n'est celui de mon cerveau)

 

FroST (Iron Maiden Forever !), The BeaST (Grand Inquisiteur), Zappy (à quand un retour au ST ? Mmh ?), Flan (encore merci pour m'avoir autorisé à utiliser un de tes graphs - Juanita - pour mon article sur les Cathares du ToXiC-MaG 14 ! A charge de revanche ! ;-), Senser, Supernova (t'as vu, j'ai pas mis d'éco ! ;-), EDO / SCT1 (Rap Killer Number One ;-), Thyrex (Grand Gana des Octets), Megastep (Linuxien en chef), ST Survivor (Death Metal Proud Fan Number One ;-), White Ninja (le grand philosophe), FirST' (l'homme à la machine qui valait trois milliards ;-), Typhoon Team, NLC team, Supremacy Corp., Sector One team, Damon Hill (Spa 98 yep !), John Carmack (merci pour Doom, Quake et Quake II), Iron Maiden (Simply the Best ! Forever !), Eddie the Head (mon ange gardien ;-)...

 

... tous les ataristes « all over ze world »
... tous mes potes
... tous les lecteurs du mag'

UP THE IRONS !

 

Cédric / QueST

 

P.S : Allons, allons ! Nous n'allons pas nous quitter comme ça quand même! :-) Avant de vous laisser, voici un petit « cadeau » : j'ai trouvé cette pub dans ma boite à lettres à Antibes, et je l'ai conservée car elle me fait délirer. La voici telle quelle en exclu (attention : je ne lui fait pas de la pub, loin de là ! Je me fous clairement de sa gueule, c'est tout ! ;-) :

 

RESULTAT RAPIDE DANS TROIS (3) JOURS    
     MONSIEUR KEITA
     Voyant médium international.
     Voyant direct avec le don de son grand père.
     Dès le premier contact, il vous dit tout.
     Réussite dans tous les domaines. Fidélité, Désenvoutement, 
     Mariage réussi, Vie professionnelle, Attraction de clientèle
     Pour vendeurs, Chance au jeux, Retour de la personne aimée,
     Examens, Permis, Protection contre les ennemis et les dangers
     de la nature
     RECOIT TOUS LES JOURS DE 8H A 20H.
     PAIEMENT A PRES RESULTATS
     TEL : XX XX XX XX XX JUANS LES PINS

Comique, non ? ;-) Le pire, c'est que certains y croient.

 

P.S 2 : Allez, « just for fun » : une chanson culte pour beaucoup d'entre nous (pas vrai Jym ? ;-)

« UNE BELLE HISTOIRE »
paroles: Pierre Delanoë
musique: Michel Fugain

C'est un beau roman, c'est une belle histoire
C'est une romance d'aujourd'hui
Il rentrait chez lui, là-haut vers le brouillard
Elle descendait dans le midi, le midi
Ils se sont trouvés au bord du chemin
Sur l'autoroute des vacances
C'était sans doute un jour de chance
Ils avaient le ciel à portée de main
Un cadeau de la Providence
Alors pourquoi penser au lendemain?

Ils se sont cachés dans un grand champ de blé
Se laissant porter par les courants
Se sont raconté leur vie qui commençait
Ils n'étaient encore que des enfants, des enfants
Qui s'étaient trouvés au bord du chemin
Sur l'autoroute des vacances
C'était sans doute un jour de chance
Qui cueillirent le ciel au creux de leurs mains
Comme on cueille la Providence
Refusant de penser au lendemain

C'est un beau roman, c'est une belle histoire
C'est une romance d'aujourd'hui
Il rentrait chez lui, là-haut vers le brouillard
Elle descendait dans le midi, le midi
Ils se sont quittés au bord du matin
Sur l'autoroute des vacances
C'était fini le jour de chance
Ils reprirent alors chacun leur chemin
Saluèrent la Providence
En se faisant un signe de la main

Il rentra chez lui, là-haut vers le brouillard
Elle est descendue là-bas dans le midi
C'est un beau roman, c'est une belle histoire
C'est une romance d'aujourd'hui

 

Allez, a-tchao !